les meilleurs voisins
Le Liban se défait tant bien que mal des griffes d’Israël, de la sauvagerie de cet état monstre qui a semé l’horreur sur un peuple fragilisé par les années de guerre, affaibli par les dissensions internes, assoiffé de sécurité. Comme traumatisé par les réminiscences du passé, par les blessures qui n’ont pas finit de cicatriser, nous avons vécu cette énième campagne militaire terrés dans les abris pour certains, hypnotisés par les images horribles de la télé pour d’autres.
Le Liban sort meurtri mais le poing levé, il tente encore une fois de se reconstruire. Le sud accueille les blindés d’une armée restée à l’écart pendant 30 ans, une armée fantôme qui n’a jamais pu agir faute de volonté politique, par peur, par sentiment d’inefficacité. Mais aujourd’hui l’espoir est bien là, le pays doit renaître ou se taire à jamais.
L’espoir est là et l’état Syrien se révolte crie au scandale, s’insurge presque contre la paix retrouvée. Un état vieux de quarante balais enraciné dans son système policier archaïque, un état lâche incapable de récupérer les territoires de 67, qui se défoule sur le petit frère brillant mais moribond. Bachar El Assad en digne descendant de la famille baasiste ne voit pas d’un bon œil le silence qui règne à nouveau sur notre terre, alors il attaque ! Les canons Israéliens se taisent c’est lui qui rapplique, il se déchaîne comme un enfant déçu sur les deux tiers des Libanais, égratigne au passage les pays arabes et l’occident qui lui ont volé son feu vert, son jouet, sa petite passion.
Dans un discours de haine, teinté de jalousie, il accuse l’état Libanais de traîtrise, feint d’oublier le Golan sacrifié par amour du pouvoir et se rattache à nos fameuses fermes. Des applaudissements grotesques rythment une diatribe d’une autre époque, c’est ce qu’on appelle la démocratie participative, toute une salle pour un seul homme, une sorte de girafe sans repères ni scrupules, un homme qui n’avale pas la défaite de 2005, le piètre départ de ses troupes du Liban et la débandade de ces sbires. Cet homme est dangereux car son régime est malade, une maladie contagieuse qu’on doit combattre tous unis comme on a combattu avant lui l’état hébreu. Il ne s’agit pas de guerre mais de lutte politique pour se débarrasser de toute influence étrangère. Commençons par les voisins et le reste suivra naturellement.
Le Liban sort meurtri mais le poing levé, il tente encore une fois de se reconstruire. Le sud accueille les blindés d’une armée restée à l’écart pendant 30 ans, une armée fantôme qui n’a jamais pu agir faute de volonté politique, par peur, par sentiment d’inefficacité. Mais aujourd’hui l’espoir est bien là, le pays doit renaître ou se taire à jamais.
L’espoir est là et l’état Syrien se révolte crie au scandale, s’insurge presque contre la paix retrouvée. Un état vieux de quarante balais enraciné dans son système policier archaïque, un état lâche incapable de récupérer les territoires de 67, qui se défoule sur le petit frère brillant mais moribond. Bachar El Assad en digne descendant de la famille baasiste ne voit pas d’un bon œil le silence qui règne à nouveau sur notre terre, alors il attaque ! Les canons Israéliens se taisent c’est lui qui rapplique, il se déchaîne comme un enfant déçu sur les deux tiers des Libanais, égratigne au passage les pays arabes et l’occident qui lui ont volé son feu vert, son jouet, sa petite passion.
Dans un discours de haine, teinté de jalousie, il accuse l’état Libanais de traîtrise, feint d’oublier le Golan sacrifié par amour du pouvoir et se rattache à nos fameuses fermes. Des applaudissements grotesques rythment une diatribe d’une autre époque, c’est ce qu’on appelle la démocratie participative, toute une salle pour un seul homme, une sorte de girafe sans repères ni scrupules, un homme qui n’avale pas la défaite de 2005, le piètre départ de ses troupes du Liban et la débandade de ces sbires. Cet homme est dangereux car son régime est malade, une maladie contagieuse qu’on doit combattre tous unis comme on a combattu avant lui l’état hébreu. Il ne s’agit pas de guerre mais de lutte politique pour se débarrasser de toute influence étrangère. Commençons par les voisins et le reste suivra naturellement.
5 Comments:
well said marc!
FYI I am checking your blog everyday!
amal
Bravo! Je suis totalement d'accord avec toi.
certainement, ca me ferait plaisir...merci
désolé, moi non plus je n'y arrive pas. c'est pas vraiment mon fort. mais je vais demander à un ami et je te dirai dès que possible, à bientot
i honestly love your writing kind, very unique.
don't give up as well as keep creating because it simply just worth to follow it,
excited to look at a whole lot more of your writing, enjoy your day :)
Post a Comment
<< Home